Cas d'école
Avant que de finir par perdre le terrain de camping, la municipalité aura dépensé, pour rien, sur ce dossier, au moins 30 000 euros (géomètre, étude paysagère, étude SOGECAMP, frais d’enquête publique et de publication etc.…).
Auxquels, il convient d’ajouter le montant des honoraires de l’avocat pour les courriers, conseils et sa participation à la réunion publique !…
Mais aujourd’hui on est soudainement et à ce point comptable des deniers du contribuable que la subvention de 1 850 € demandée par l’amicale laïque pour rémunérer un animateur sportif pour l’école n’est plus envisageable.
Et, notre édile ne voit pas pourquoi il ferait un cadeau .
En fait de cadeau, de quoi s’agit-il :
Un intervenant extérieur, recruté par l’amicale laïque et mis à disposition de l’école. Il apporte au niveau des activités sportives une compétence technique, complémentaire de la compétence pédagogique de l’enseignant, dont profitent avantageusement les élèves. Cette valeur ajoutée en termes de connaissances et d’aptitudes sportives permet de diversifier l’offre et de multiplier les ateliers en toute sécurité.
Cette disposition donnait toute satisfaction depuis qu’elle avait été initiée il y a au moins dix ans.
C’est fini !...
Dommage pour les enfants de notre école moins bien traités que certains particuliers en demande d’urbanisme !…
Pas de doute, avec notre municipalité, on est face à un cas d’école.