Dépôts d'algues ... suite
Nous relevons dans le Courrier Vendéen du 6 août 2009 le « coup de colère » de particuliers qui ont tiré la sonnette d’alarme au sujet des algues qui polluent gravement nos plages.
Nous lisons, dans cet article, que, dès le 19 juillet, le maire, alerté par des riverains, déclarait qu’il « n’envisageait aucune action de nettoyage », laissant les grandes marées faire le travail à sa place.
Les algues vertes - les ulves -, disent les signataires de ce « coup de colère », représentent « 30 à 35% du volume global » des algues déposées sur les plages, ce qui n’est pas une faible quantité. Ils sont en colère car, contrairement à ce que l’on veut leur faire croire officiellement, « l’invasion des algues vertes est bien antérieure aux vents forts du 17 juillet ». Ils constatent, avec amertume que, « avant [leur] pétition, les autorités municipales ne réagissaient pas face à cette catastrophe écologique ».
Nous n’avons pas dit autre chose dans notre article « Sous le goémon, la plage … » publié sur notre blog le 25 juillet 2009.
Nous invitons nos lecteurs à se reporter au site officiel de l’Epine où les analyses des eaux de baignade remontent au 22 juin 2009. En raison des événements actuels, postérieurs à cette date, est-ce trop demander au maire que d’actualiser ses données et rendre publiques des informations à jour ?
Ce serait agir dans la « transparence », comme il disait avant d’être maire !